Contact

Comment nous contacter ?

Afin d’accueillir la parole des personnes concernées, vous pouvez nous contacter de trois manières :

0800 14 112

Par téléphone

Notre dispositif consiste en une ligne téléphonique ouverte les lundis de 14h00 à 16h00, les mercredis de 17h00 à 19h00 et les vendredis de 10h00 à 12h00. Ce numéro est gratuit, vous n’aurez pas à payer le coût de votre appel. Le numéro de Stop it Now ! Bruxelles n’apparaitra pas sur le détail de votre facture téléphonique.

Par tchat

Si vous préférez nous écrire, nous sommes joignables via un tchat ouvert les lundis de 14h00 à 16h00.
Ce mode de communication est aussi gratuit et anonyme. Vous n’avez pas à révéler des éléments de votre identité (nom, prénom, adresse). Vous pouvez trouver notre tchat sur diverses plateformes numériques : Facebook, Messenger, Instagram, LinkedIn. Seuls les éléments que vous avez vous-même enregistrés sur la plateforme de contact choisie seront accessibles.

Par e-mail

Vous pouvez aussi nous écrire par e-mail à l’adresse contact@stopitnow.brussels. Dans un souci d’anonymat, vous pouvez utiliser un pseudonyme. Vous pouvez utiliser une adresse mail différente de la vôtre si elle contient votre prénom et/ou votre nom.

Les principes essentiels concernant notre dispositif sont l’anonymat, la gratuité et la confidentialité.

Comment fonctionne ce numéro vert 0800 ?

L'anonymat

Lorsque vous nous contactez, vous n’avez à révéler ni votre identité, ni votre lieu de résidence précis, ni d’éléments précis permettant votre identification.

Seule une situation dans laquelle un∙e mineur∙e, ou un tiers vulnérable, ferait face à un danger imminent pourrait entrainer un signalement aux autorités compétentes qui seront à même de lever la condition du secret professionnel.

Le secret professionnel

Les intervenant∙e∙s qui répondent au téléphone, au tchat et au mail, sont soumis.es au secret professionnel. Cela veut dire qu’ils/elles ne peuvent pas divulguer les informations et secrets que vous leur confiez.

Selon la loi belge, le secret professionnel peut être levé si la personne dépositaire du secret estime qu’il existe un danger grave et imminent pour l’intégrité physique et mentale de la personne visée (article 458 bis du Code Pénal).

Dans une visée de responsabilisation, il sera toujours recommandé à la personne de divulguer elle-même les informations auprès des autorités compétentes.

La gratuité